mardi 5 février 2019

Suisse – Russie - Ouzbékistan

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Le Club suisse de la Presse – Geneva Press Club,
en collaboration avec l'Union des Chambres de commerce Suisse-Russie & CEI,
a le plaisir d’inviter les journalistes suisses et étrangers et ses membres
à réception intitulée:

 

Suisse – Russie - Ouzbékistan:
Etat des lieux


avec

M. Serguei Garmonine
Ambassadeur de la Fédération de Russie en Suisse


M. Ulugbek Lapasov
Ambassadeur, représentant permanent de l’Ouzbékistan aux Nations Unies, qui nous présenteront l’économie de leur pays

 

Jeudi 7 février 2019 à 17h00

« La Pastorale » Route de Ferney 106, 1202 Genève
(Bus 5 – Direction : Aéroport – Arrêt : Intercontinental)

 
Chaque année, la Chambre de commerce réunit ses membres au Club suisse de la presse pour fêter la nouvelle année. A cette occasion, nous avons le plaisir de vous inviter à la réception programmée le jeudi 7 février 2019 à 17h00.

Les ambassadeurs des pays membres de l'UCC participeront à cet événement. Cette année, la parole sera donnée à: -M. Serguei  Garmonine et à M. Ulugbek Lapasov. Les représentants de la société russe « GA Solutions Ltd », qui produit du charbon en Sibérie et en Extrême-Orient, présentateront leur projet "South Yakutia and Sakhalin island, Russia steam and coking coal production and Trading project".

Ces interventions seront suivies d'une réception organisée par la Chambre, en présence des milieux d'affaires suisses et des autorités genevoises.

Afin de faciliter l'organisation de cette soirée, nous vous prions de bien vouloir confirmer votre présence à l'adresse mail swissruschamber@gmail.com
Au plaisir de vous revoir à cette occasion

Les interventions seront suivies d'une réception.




Le Club suisse de la presse
Our mailing address is:
Club Suisse de la presse / Geneva Press Club
La Pastorale
106 Route de Ferney
Geneva 1202
Switzerland

Asia Bibi libre !

lundi 4 février 2019

LA FRATERNITÉ HUMAINE POUR LA PAIX MONDIALE ...


DOCUMENT SUR
LA FRATERNITÉ HUMAINE
POUR LA PAIX MONDIALE ET LA COEXISTENCE COMMUNE



AVANT-PROPOS
La foi amène le croyant à voir dans l’autre un frère à soutenir et à aimer. De la foi en Dieu, qui a créé l’univers, les créatures et tous les êtres humains – égaux par Sa Miséricorde –, le croyant est appelé à exprimer cette fraternité humaine, en sauvegardant la création et tout l’univers et en soutenant chaque personne, spécialement celles qui sont le plus dans le besoin et les plus pauvres.
Partant de cette valeur transcendante, en diverses rencontres dans une atmosphère de fraternité et d’amitié, nous avons partagé les joies, les tristesses et les problèmes du monde contemporain, au niveau du progrès scientifique et technique, des conquêtes thérapeutiques, de l’époque digitale, des mass media, des communications ; au niveau de la pauvreté, des guerres et des malheurs de nombreux frères et sœurs en diverses parties du monde, à cause de la course aux armements, des injustices sociales, de la corruption, des inégalités, de la dégradation morale, du terrorisme, de la discrimination, de l’extrémisme et de tant d’autres motifs.
De ces échanges fraternels et sincères, que nous avons eus, et de la rencontre pleine d’espérance en un avenir lumineux pour tous les êtres humains, est née l’idée de ce « Document sur la Fraternité humaine ». Un document raisonnéavec sincéritéet sérieux pourêtre une déclaration commune de bonne et loyale volonté, destinée à inviter toutes les personnes qui portent dans le cœur la foi en Dieu et la foi dans la fraternité humaine, à s’unir et à travailler ensemble, afin que ce Document devienne un guide pour les nouvelles générations envers la culture du respect réciproque, dans la compréhension de la grande grâce divine qui rend frères tous les êtres humains.

DOCUMENT
Au nom de Dieu qui a créé tous les êtres humains égaux en droits, en devoirs et en dignité, et les a appelés à coexister comme des frères entre eux, pour peupler la terre et y répandre les valeurs du bien, de la charité et de la paix.
Au nom de l’âme humaine innocente que Dieu a interdit de tuer, affirmant que quiconque tue une personne est comme s’il avait tué toute l’humanité et que quiconque en sauve une est comme s’il avait sauvé l’humanité entière.
Au nom des pauvres, des personnes dans la misère, dans le besoin et des exclus que Dieu a commandé de secourir comme un devoir demandé à tous les hommes et, d’une manière particulière, à tout homme fortuné et aisé.
Au nom des orphelins, des veuves, des réfugiés et des exilés de leurs foyers et de leurs pays ; de toutes les victimes des guerres, des persécutions et des injustices ; des faibles, de ceux qui vivent dans la peur, des prisonniers de guerre et des torturés en toute partie du monde, sans aucune distinction.
Au nom des peuples qui ont perdu la sécurité, la paix et la coexistence commune, devenant victimes des destructions, des ruines et des guerres.
Au nom de la « fraternité humaine » qui embrasse tous les hommes, les unit et les rendégaux.
Au nom de cette fraternitédéchiréepar lespolitiques d’intégrisme et de division, et par les systèmes de profit effréné et par les tendances idéologiques haineuses, qui manipulent les actions et les destins des hommes.
Au nom de la liberté, que Dieu a donnée à tous les êtres humains, les créant libres et les distinguant par elle.
Au nom de la justice et de la miséricorde, fondements de la prospérité et pivots de la foi.
Au nom de toutes les personnes de bonne volonté, présentes dans toutes les régions de la terre.
Au nom de Dieu et de tout cela, Al-Azhar al-Sharif
– avec les musulmans d’Orient et d’Occident –, conjointement avec l’Eglise catholique – avec les catholiques d’Orient et d’Occident –, déclarent adopter la culture du dialogue comme chemin ; la collaboration commune comme conduite ; la connaissance réciproque comme méthode et critère.
Nous – croyants en Dieu, dans la rencontre finale avec Lui et dans Son Jugement –, partant de notre responsabilité religieuse et morale, et par ce Document, nous demandons à nous-mêmes et aux Leaders du monde, aux artisans de la politique internationale et de l’économie mondiale, de s’engager sérieusement pour répandre la culture de la tolérance, de la coexistence et de la paix; d’intervenir, dès que possible, pour arrêter l’effusion de sang innocent, et de mettre fin aux guerres, aux conflits, à la dégradation environnementale et au déclin culturel et moral que le monde vit actuellement.
Nous nous adressons aux intellectuels, aux philosophes, aux hommes de religion, aux artistes, aux opérateurs des médias et aux hommes de culture en toute partie du monde, afin qu’ils retrouvent les valeurs de la paix, de la justice, du bien, de la beauté, de la fraternité humaine et de la coexistence commune, pour confirmer l’importance de ces valeurs comme ancre de salut pour tous et chercher à les répandre partout.
Cette Déclaration, partant d’une réflexion profonde sur notre réalité contemporaine, appréciant ses réussites et partageant ses souffrances, ses malheurs et ses calamités, croit fermement que parmi les causes les plus importantes de la crise du monde moderne se trouvent une conscience humaine anesthésiée et l’éloignement des valeurs religieuses, ainsi que la prépondérance de l’individualisme et des philosophies matérialistes qui divinisent l’homme et mettent les valeurs mondaines et matérielles à la place des principes suprêmes et transcendants.
Nous, reconnaissant aussi les pas positifs que notre civilisation moderne a accomplis dans les domaines de la science, de la technologie, de la médecine, de l’industrie et du bien-être, en particulier dans les pays développés, nous soulignons que, avec ces progrès historiques, grands et appréciés, se vérifient une détérioration de l’éthique, qui conditionne l’agir international, et un affaiblissement des valeurs spirituelles et du sens de la responsabilité. Tout cela contribue à répandre un sentimentgénéral de frustration, de solitude et de désespoir, conduisant beaucoup à tomber dans le tourbillon de l’extrémisme athée et agnostique, ou bien dans l’intégrisme religieux, dans l’extrémisme et dans le fondamentalisme aveugle, poussant ainsi d’autres personnes à céder à des formes de dépendance et d’autodestruction individuelle et collective.
L’histoire affirme que l’extrémisme religieux et national, ainsi que l’intolérance, ont produit dans le monde, aussi bien en Occident qu’en Orient, ce que l’on pourrait appeler les signaux d’une « troisième guerre mondiale par morceaux », signaux qui, en diverses parties du monde et en diverses conditions tragiques, ont commencéàmontrer leur visage cruel ; situations dont on ne connaîtpas avec précision combien de victimes, de veuves et d’orphelins elles ontgénérés. En outre, il y a d’autres régions qui se préparent à devenir le théâtre de nouveaux conflits, où naissent des foyers de tension et s’accumulent des armes et des munitions, dans une situation mondiale dominée par l’incertitude, par la déception et par la peur de l’avenir et contrôlée par des intérêts économiques aveugles.
Nous affirmons aussi que les fortes crises politiques, l’injustice et l’absence d’une distribution équitable des ressources naturelles – dont bénéficie seulement une minorité de riches, au détriment de la majorité des peuples de la terre – ont provoqué, et continuent à le faire, d’énormes quantité de malades, de personnes dans le besoin et de morts, causant des crises létales dont sont victimes divers pays, malgré les richesses naturelles et les ressources des jeunes générations qui les caractérisent. A l’égard de ces crises qui laissent mourir de faim des millions d’enfants, déjà réduits à des squelettes humains – en raison de la pauvreté et de la faim –, règne un silence international inacceptable.
Il apparaît clairement à ce propos combien la famille est essentielle, en tant que noyau fondamental de la société et de l’humanité, pour donner le jour à des enfants, les élever, les éduquer, leur fournir une solide morale et la protection familiale. Attaquer l’institution familiale, en la méprisant ou en doutant de l’importance de son rôle, représente l’un des maux les plus dangereux de notre époque.
Nous témoignons aussi de l’importance du réveil du sens religieux et de la nécessité de le raviver dans les cœurs des nouvelles générations, par l’éducation saine et l’adhésion aux valeurs morales et aux justes enseignements religieux, pour faire face aux tendances individualistes, égoïstes, conflictuelles, au radicalisme et à l’extrémisme aveugle sous toutes ses formes et ses manifestations.
Le premier et le plus important objectif des religions est celui de croire en Dieu, de l’honorer et d’appeler tous les hommes à croire que cet univers dépend d’un Dieu qui le gouverne, qu’il est le Créateur qui nous a modelés avec Sa Sagesse divine et nous a accordé le don de la vie pour le préserver. Un don que personne n’a le droit d’enlever, de menacer ou de manipuler à son gré; au contraire, tous doivent préserver ce don de la vie depuis son commencement jusqu’à sa mort naturelle. C’est pourquoi nous condamnons toutes les pratiques qui menacent la vie comme les génocides, les actes terroristes, les déplacements forcés, le trafic d’organes humains, l’avortement et l’euthanasie et les politiques qui soutiennent tout cela.
De même nous déclarons – fermement – que les religions n’incitent jamais à la guerre et ne sollicitent pas des sentiments de haine, d’hostilité, d’extrémisme, ni n’invitent à la violence ou à l’effusion de sang. Ces malheurs sont le fruit de la déviation des enseignements religieux, de l’usage politique des religions et aussi des interprétations de groupes d’hommes de religion qui ont abusé – à certaines phases de l’histoire – de l’influence du sentiment religieux sur les cœurs des hommes pour les conduire à accomplir ce qui n’a rien à voir avec la vérité de la religion, à des fins politiques et économiques mondaines et aveugles. C’est pourquoi nous demandons à tous de cesser d’instrumentaliser les religions pour inciter à la haine, à la violence, à l’extrémisme et au fanatisme aveugle et de cesser d’utiliser le nom de Dieu pour justifier des actes d’homicide, d’exil, de terrorisme et d’oppression. Nous le demandons par notre foi commune en Dieu, qui n’a pas créé les hommes pour être tués ou pour s’affronter entre eux et ni non plus pour être torturés ou humiliés dans leurs vies et dans leurs existences. En effet, Dieu, le Tout-Puissant, n’a besoin d’être défendu par personne et ne veut pas que Son nom soit utilisé pour terroriser les gens.
Ce Document, en accord avec les précédents Documents Internationaux qui ont souligné l’importance du rôle des religions dans la construction de la paix mondiale, certifie ce qui suit :
-  La forte conviction que les vrais enseignements des religions invitent à demeurer ancrés dans les valeurs de la paix ; à soutenir les valeurs de la connaissance réciproque, de la fraternité humaine et de la coexistence commune ; à rétablir la sagesse, la justice et la charité et à réveiller le sens de la religiosité chez les jeunes, pour défendre les nouvelles générations de la domination de la pensée matérialiste, du danger des politiques de l’avidité du profit effréné et de l’indifférence, basée sur la loi de la force et non sur la force de la loi.
-  La liberté est un droit de toute personne : chacune jouit de la liberté de croyance, de pensée, d’expression et d’action. Le pluralisme et les diversités de religion, de couleur, de sexe, de race et de langue sont une sage volonté divine, par laquelle Dieu a créé les êtres humains. Cette Sagesse divine est l’origine dont découle le droit à la liberté de croyance et à la liberté d’être différents. C’est pourquoi on condamne le fait de contraindre les gens à adhérer à une certaine religion ou à une certaine culture, comme aussi le fait d’imposer un style de civilisation que les autres n’acceptent pas.
-  La justice basée sur la miséricorde est le chemin à parcourir pour atteindre une vie décente à laquelle a droit tout être humain.
-  Le dialogue, la compréhension, la diffusion de la culture de la tolérance, de l’acceptation de l’autre et de la coexistence entre les êtres humains contribueraient notablement à réduire de nombreux problèmes économiques, sociaux, politiques et environnementaux qui assaillent une grande partie du genre humain.
-  Le dialogue entre les croyants consiste à se rencontrer dans l’énorme espace des valeurs spirituelles, humaines et sociales communes, et àinvestir cela dans la diffusion des plus hautes vertus morales, réclamées par les religions ; il consiste aussi à éviter les discussions inutiles.
-  La protection des lieux de culte – temples, églises et mosquées – est un devoir garanti par les religions, par les valeurs humaines, par les lois et par les conventions internationales. Toute tentative d’attaquer les lieux de culte ou de les menacer par des attentats, des explosions ou des démolitions est une déviation des enseignements des religions, ainsi qu’une claire violation du droit international.
-  Le terrorisme détestable qui menace la sécurité des personnes, aussi bien en Orient qu’en Occident, au Nord ou au Sud, répandant panique, terreur ou pessimisme n’est pas dû à la religion – même si les terroristes l’instrumentalisent – mais est dû à l’accumulation d’interprétations erronées des textes religieux, aux politiques de faim, de pauvreté, d’injustice, d’oppression, d’arrogance ; pour cela, il est nécessaire d’interrompre le soutien aux mouvements terroristes par la fourniture d’argent, d’armes, de plans ou de justifications, ainsi que par la couverture médiatique, et de considérer tout cela comme des crimes internationaux qui menacent la sécurité et la paix mondiale. Il faut condamner ce terrorisme sous toutes ses formes et ses manifestations.
-  Le concept de citoyenneté se base sur l’égalité des droits et des devoirs à l’ombre de laquelle tous jouissent de la justice. C’est pourquoi il est nécessaire de s’engager à établir dans nos sociétés le concept de la pleine citoyenneté et àrenoncer à l’usage discriminatoire du terme minorités, qui porte avec lui les germes du sentiment d’isolement et de l’infériorité ; il prépare le terrain aux hostilités et à la discorde et prive certains citoyens des conquêtes et des droits religieux et civils, en les discriminant.
-  La relation entre Occident et Orient est une indiscutable et réciproque nécessité, qui ne peut pas être substituéeni non plus délaissée, afin que tous les deux puissent s’enrichir réciproquement de la civilisation de l’autre, par l’échange et le dialogue des cultures. L’Occident pourrait trouver dans la civilisation de l’Orient des remèdes pour certaines de ses maladies spirituelles et religieuses causées par la domination du matérialisme. Et l’Orient pourrait trouver dans la civilisation de l’Occident beaucoup d’éléments qui pourraient l’aider à se sauver de la faiblesse, de la division, du conflit et du déclin scientifique, technique et culturel. Il est important de prêter attention aux différences religieuses, culturelles et historiques qui sont une composante essentielle dans la formation de la personnalité, de la culture et de la civilisation orientale ; et il est important de consolider les droits humains généraux et communs, pour contribuer à garantir une vie digne pour tous les hommes en Orient et en Occident, en évitant l’usage de la politique de la double mesure.
-  C’est une nécessité indispensable de reconnaître le droit de la femme à l’instruction, au travail, à l’exercice de ses droits politiques. En outre, on doit travailler à la libérer des pressions historiques et sociales contraires aux principes de sa foi et de sa dignité. Il est aussi nécessaire de la protéger de l’exploitation sexuelle et du fait de la traiter comme une marchandise ou un moyen de plaisir ou de profit économique. Pour cela, on doit cesser toutes les pratiques inhumaines et les coutumes courantes qui humilient la dignité de la femme et travailler à modifier les lois qui empêchent les femmes de jouir pleinement de leurs droits.
-  La défense des droits fondamentaux des enfants à grandir dans un milieu familial, à l’alimentation, à l’éducation et à l’assistance est un devoir de la famille et de la société. Ces droits doivent être garantis et préservés, afin qu’ils ne manquent pas ni ne soient refusés à aucun enfant, en aucun endroit du monde. Il faut condamner toute pratique qui viole la dignité des enfants et leurs droits. Il est aussi important de veiller aux dangers auxquels ils sont exposés – spécialement dans le domaine digital – et de considérer comme un crime le trafic de leur innocence et toute violation de leur enfance.
§  La protection des droits des personnes âgées, des faibles, des handicapés et des opprimés est une exigence religieuse et sociale qui doit être garantie et protégée par des législations rigoureuses et l’application des conventions internationales à cet égard.
A cette fin, l’Eglise catholique et Al-Azhar, par leur coopération commune, déclarent et promettent de porter ce Document aux Autorités, aux Leaders influents, aux hommes de religion du monde entier, aux organisations régionales et internationales compétentes, aux organisations de la société civile, aux institutions religieuses et aux Leaders de la pensée ; et de s’engager à la diffusion des principes de cette Déclaration à tous les niveaux régionaux et internationaux, en préconisant de les traduire en politiques, en décisions, en textes législatifs, en programmes d’étude et matériaux de communication.
Al-Azhar et l’Eglise Catholique demandent que ce Document devienne objet de recherche et de réflexion dans toutes les écoles, dans les universités et dans les instituts d’éducation et de formation, afin de contribuer à créer de nouvelles générations qui portent le bien et la paix et défendent partout le droit des opprimés et des derniers.
En conclusion nous souhaitons que :
cette Déclaration soit une invitation à la réconciliation et à la fraternité entre tous les croyants, ainsi qu’entre les croyants et les non croyants, et entre toutes les personnes de bonne volonté ;
soit un appel à toute conscience vivante qui rejette la violence aberrante et l’extrémisme aveugle ; appel à qui aime les valeurs de tolérance et de fraternité, promues et encouragées par les religions ;
soit un témoignage de la grandeur de la foi en Dieu qui unit les cœurs divisés et élève l’esprit humain ;
soit un symbole de l’accolade entre Orient et Occident, entre Nord et Sud, et entre tous ceux qui croient que Dieu nous a créés pour nous connaître, pour coopérer entre nous et pour vivre comme des frères qui s’aiment.
Ceci est ce que nous espérons et cherchons à réaliser, dans le but d’atteindre une paix universelle dont puissent jouir tous les hommes en cette vie.
Abou Dabi, le 4 février 2019


Sa Sainteté
Pape François
Grand Imam d’Al-Azhar
Ahmad Al-Tayyeb

CONTRE LA TRAITE DES ÊTRES HUMAINS

INVITATION MESSE
DU VENDREDI 8 FÉVRIER 2018 À 19:00
ÉGLISE DE SAINTE-CLAIRE GENÈVE
JOURNÉE MONDIALE DE PRIÈRES CONTRE LA TRAITE DES ÊTRES HUMAINS
Sainte Josephine Bakhita, née en 1869 au Soudan, décédée en Italie en1947, a été canonisée en 2000 par le Pape Saint Jean-Paul II. Ancienne esclave africaine, sa vie de foi et d'espérance a rayonné. A l'âge de 24 ans, elle devint religieuse des Soeurs de la Charité à Venise.
Elle est la Patronne des victimes de la traite des êtres humains.

La Messe sera présidée par :
  • Le Nonce Apostolique à Genève, Monseigneur Ivan Jurkovič.
et sera concélébrée en union avec les communautés hispaniques, africaines, suisses et internationales par :
  • Le Vicaire Épiscopal de Genève, l'Abbé Pascal Desthieux.
  • L'abbé Gilbert Perritaz, Unité pastorale Carouge / Plainpalais - Genève.
 
Une courte présentation sur la situation du trafic des êtres humains à Genève et en Suisse, accompagnée d'une collation, suivront la messe.

JORNADA MUNDIAL DE ORACION Y REFLEXION CONTRA LA TRATA DE SERES HUMANOS

 
MISA EN LA IGLESIA DE SAINTE-CLAIRE
VIERNES 8 DE FEBRERO A LAS 19H

INTERNATIONAL DAY OF PRAYER AND AWARENESS AGAINST HUMAN TRAFFICKING

 
HOLY MASS AT *SAINTE-CLAIRE* CHURCH
FRIDAY, FEBRUARY 8, AT 7 P.M.

Cameroons Colonial Conflict ?

       

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The Geneva Press Club - Club suisse de la Presse,
has the pleasure to invite the international press, the Swiss press and its members
to a press conference entitled:

 

Global Initiative to end 
the Cameroons Colonial Conflict


With

Dr. Bernadette Ateghang
Chair, Ambazonia International Policy Commission - Germany

Mr. Julius Nde
Regional Director, Sam Soya Center for Democracy and Human Rights Europe - Germany

Mme Maximilienne C. Ngo Mbe
Directrice, Réseaux des défenseurs des Droits Humains en Afrique Centrale

Mr. Dabney Yerima
Acting National Secretary General, Southern Cameroons National Council
Member, Ambazonia International Policy Commission

Mr. Derek Brett
Main Representative to the United Nations, Geneva, International Fellowship of Reconciliation


Thursday, February 7th 2019 at 11am

« La Pastorale » Route de Ferney 106, Genève
(Bus 5 - Direction : Aéroport - Arrêt : Intercontinental)
On February 7, 2019, a dozen faith and civil society organizations from three continents will deliver a letter in advance of the UN HRC’s 40th Session demanding that member states mandate an independent international fact-finding mission to investigate allegations of serious human rights violations in the conflict in the western region of Cameroon, known as “Southern Cameroons” or “Ambazonia.” This Press briefing will take place on February 7, in conjunction with the letter’s delivery, in Geneva as well as New York City and Johannesburg.

Initiated by Southern Cameroonians living in South Africa, the United States and Europe, the letter has been championed by the International Fellowship of Reconciliation (IFOR) and endorsed by a broad-base and multifaith group of well-respected peace and human rights organization, as well as grassroots organizations representing both English-speaking and French-speaking Cameroonians.
I look forward to seeing you on this occasion
The press conference will be followed by drinks.
Geneva Press Club
Our mailing address is:
Club Suisse de la presse / Geneva Press Club
La Pastorale
106 Route de Ferney
Geneva 1202
Switzerland

vendredi 1 février 2019

Strategic Stability ... Dr. Brad Roberts

       

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The Geneva Press Club - Club suisse de la Presse, in collaboration with the
Embassady of the United States, l'Université de Genève and foraus,
has the pleasure to invite the international press, the Swiss press and its members to a conference on the following topic
:

 

 

Strategic Stability
and the
Future of International Politics


With
 

Dr. Brad Roberts

Director of Lawrence, Livermore National Lab's Center
for Global Security Research

 

Thursday, February 7th 2019 at 6.30pm

Uni Mail, Room M130, Boulevard du Pont-d'Arve 40,
1204 Genève, Suisse
The concept of strategic stability has emerged in recent years as a useful framework for understanding how the relationship between various challenges—such as nuclear proliferation and terrorism, cyber security, and great power relations—affect the prospects for international peace and stability. Dr. Brad Roberts will take stock of the current strategic context and assess the prospects for enhancing stability in the coming years. 

Brad Roberts is director of the Center for Global Security Research at Lawrence Livermore National Laboratory in California. From April 2009 to March 2013 he served as Deputy Assistant Secretary of Defense for Nuclear and Missile Defense Policy. In this role, he served as policy director of the Obama administration’s Nuclear Posture Review and Ballistic Missile Defense Review. From September 2013 through December 2014, Dr. Roberts was a consulting professor and William Perry Fellow at the Center for International Security and Cooperation at Stanford University. Prior to joining the Obama administration, Dr. Roberts was a member of the research staff at the Institute for Defense Analyses and an adjunct professor at George Washington University. A member of the Council on Foreign Relations, Roberts has a bachelor’s degree in international relations from Stanford University, a MA. from the London School of Economics and Political Science, and a PhD in international relations from Erasmus University.
We look forward to seeing you on this occasion
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La Pastorale
106 Route de Ferney
Geneva 1202
Switzerland

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vendredi 18 janvier 2019

Blockade of Qatar

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The Geneva Press Club - Club suisse de la Presse,
in collaboration with the National Human Rights Committee (NHRC),
has the pleasure to invite the international press, the Swiss press
and its members to a press conference entitled:


 

Human Rights violation
after the blockade of Qatar



With 

 

Dr Ali bin Samikh Al Marri

Chairman of National Human Rights Committee (NHRC) of Qatar


 

Wednesday, 23rd January 2019 at 10am

« La Pastorale » Route de Ferney 106, Genève (Bus 5 - Direction : Aéroport - Arrêt : Intercontinental)
The National Human Rights Committee (NHRC) of Qatar is organizing this press conference. The NHRC will shed light on the Human Rights Violations after the blockade of Qatar.
I look forward to seeing you on this occasion
The press conference will be followed by drinks.
Geneva Press Club
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La Pastorale
106 Route de Ferney
Geneva 1202
Switzerland